UNE ULTIME THÉRAPIE POUR SAUVER LEUR ENFANT

by Isaac Mampuya Samba


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Softcover
£12.95
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Book Details

Language : French
Publication Date : 12/08/2016

Format : Softcover
Dimensions : 6x9
Page Count : 292
ISBN : 9781524661571

About the Book

Et ainsi la poudre d’escampette que Julio FERNANDEZ penserait à prendre et même, qu’il prendrait effectivement, s’avérerait être désormais, un véritable désastre, “ Un Véritable Chagrin d’Amour ”. Ce chagrin précipiterait Maryvonne KEVILER, dans une vraie dépression nerveuse; laquelle dépression irait tout doucement et très sûrement, “ bousiller ” cette enfant unique. Les parents de celle-ci (avec une partie de leur importante fortune), n’hésiteraient guère, à utiliser par exemple carrément, des méthodes peu orthodoxes; des méthodes contraires à la loi et à la morale; bref, des méthodes machiavéliques; afin de faire revenir JULIO dans les bras de leur fille unique; en vue de lui sauver la vie; et par la même occasion, garantir par voie de conséquence, l’héritage de leur fortune, en toute tranquillité, après leur mort. Pourquoi les parents de MARYVONNE tenaient absolument à cette garantie ? C’est tout simplement, parce que, dans leurs esprits : « Si celle-ci; c’est-à-dire : leur fille unique MARYVONNE venait par exemple, comme par hasard, à mourir de sa dépression nerveuse; dans ce cas-là, son fils LUCILIAN aussi, risquerait éventuellement, de tomber dans une quelconque dépression nerveuse, en pensant tout naturellement à sa mère; et, il pourrait bel et bien éventuellement, trépasser également. Dans ce cas-là, leurs efforts seraient par exemple, d’une manière ou d’une autre, tout simplement “ dilapidés ”, après leur mort. ». C’était pour cela, qu’ils; c’est-à-dire : “ les parents fortunés ” de Mademoiselle Maryvonne KEVILER, tenaient, à garantir absolument, la succession en toute quiétude. Par conséquent, selon “ leur manière de faire les choses ” : “ Utiliser “ des méthodes ”, même si “ ces methods en question ”, ne sont que : “ machiavéliques ”, en vue de sauver leur “progéniture unique ”, tout en faisant du mal, voire très mal, à “ quelqu’une ” d’autre au passage : serait vraiment-là, “ une ultime thérapie confidentielle ”, pour cette “ souffrance affective indirecte ”; pour cette “ souffrance afflictive indirecte ” [si l’on pouvait l’appeler ainsi] ”; “ laquelle souffrance ” se répercuterait dorénavant chez Monsieur et Madame KEVILER, les parents de MARYVONNE.


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